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  • : Jésus-Christ : le Dieu vivant qui transforme les coeurs et qui opère toujours des miracles dans la vie des hommes. Des chrétiens témoignent. Vous aussi, écrivez votre témoignage de vie ou des conseils basés sur votre expérience et la Parole.
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7 février 2024 3 07 /02 /février /2024 14:52
Essai sur l'évangélisation 2024

Essai sur l'évangélisation 2024

ISBN 978-2-36957-359-3

ISBN 978-2-36957-359-3

Format A5 - 48 pages

Extrait p. 32-33

Le témoignage

« Ils l’ont [le diable] vaincu à cause du sang de l’agneau et à cause de la parole de leur témoignage » (Ap 12 : 11). Ici le témoignage nous est présenté comme une arme redoutable pour repousser les assauts de l’ennemi. Jésus, connaissant la réalité de l’adversité sur la terre, nous a confié des armes spirituelles pour la contrecarrer ; le témoignage est celle qui nous intéresse présentement.

Quand on considère les fléaux et les guerres qui sévissent aux quatre coins de la planète, il y a de quoi pleurer et aussi trembler de peur. Les âmes sans Dieu ou mal affermies ressentent en tout temps un sentiment de peur dès qu’elles sont confrontées à l’inconnu ou à ce qu’elles ne maîtrisent pas, à l’avenir, à l’échec, à la mort ou en présence de certains hommes. Satan aime nous effrayer, notamment ceux qui ne connaissent pas le secret de la prière et la puissance de Dieu, bien supérieure à celle de Satan qui n’est qu’une créature et non le Créateur.

Le monde des ténèbres conçoit sans cesse des projets de destruction de l’humanité. Or, le témoignage de la vérité demeure une puissance de Dieu pour protéger ceux qui sont ciblés. En faisant grandir leur foi, nous pouvons les sortir de l’emprise de la peur. « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira » (Jn 8 : 32). Autant les victimes des souffrances infligées par Satan sont nombreuses, autant sont nombreux ceux qui expérimentent la puissance de Dieu capable de délivrer, de guérir, de restaurer et plus encore de ressusciter les morts, selon qu’il est écrit : « L’esprit du Seigneur, l’éternel est sur moi, car l’éternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux, il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté et aux prisonniers la délivrance, pour publier une année de grâce de l’éternel et un jour de vengeance de notre Dieu, pour consoler tous les affligés » (És 61:1).

Cette parole est digne de confiance, Dieu agit encore dans notre siècle pour sortir l’homme des situations les plus improbables. Il nous revient de susciter l’intérêt de ceux qui croupissent dans les ténèbres. Plus la majorité sera convaincue des bienfaits de Dieu, plus le royaume des ténèbres sera ébranlé. Témoigner de la puissance divine, c’est donner de la hardiesse à ceux qui ont peur, de l’espoir à ceux qui désespèrent, des forces à ceux qui sont faibles ; c’est leur prouver que Dieu règne et qu’il souhaite leur communiquer sa vie.

Jésus veut que nous témoignions, pour preuve quand il donna l’ordre à un démoniaque qu’il venait d’exorciser d’aller raconter sa délivrance. « Comme il montait dans la barque, celui qui avait été démoniaque lui demanda la permission de rester avec lui. Jésus ne le lui permit pas, mais il lui dit : Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t ’a fait, et comment il a eu pitié de toi. Il s’en alla, et se mit à publier dans la Décapole tout ce que Jésus avait fait pour lui. Et tous furent dans l’étonnement. » (Mc 5 : 18-20). Cette recommandation visait à susciter la foi à l’entourage et leur montrer que la puissance de Dieu est bien réelle. S’il avait libéré cet homme des démons qui avaient pris possession de sa personne, cela prouvait qu’il pouvait agir en la faveur de tous les faibles incapables de se suffire à eux-mêmes dans leurs besoins ou leurs handicaps. "

Pour commander l'ouvrage : 

- Chez l'auteur : atebamess87@gmail.com

- Chez l'éditeur : Editions l'Oasis https://editionsoasis.com/produit/lart-devangeliser-victorine-messina/

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14 avril 2023 5 14 /04 /avril /2023 16:09
Autobiographie Rolinda LINISE

Autobiographie Rolinda LINISE

Extrait, p. 109.

Le temps était arrivé de commencer des démarches en vue de procéder à de sérieuses rénovations. J’ai pris ce projet en main selon les directives du Seigneur. J’en ai parlé à ma mère premièrement et longtemps après à mon père, car pour être sûr d’avancer dans un projet quelconque, il ne fallait rien lui dire, rien lui confier, rien de rien, sinon nos plans étaient voués à l’échec. Je partais motivée par une ambition qui aspirait à un renouveau. Puisque mes parents n’étaient pas capables de gérer seuls les travaux, une entreprise s’en chargerait. J’ai pris en main toutes les démarches, du montage des dossiers aux demandes d’aide auprès de différents organismes. Malheureusement, à chaque pas fait en avant, le sort m’obligeait à en faire deux en arrière. Le plan cadastral n’avait pas été mis à jour… une borne avait été arrachée par la voisine… la vente du terrain était bloquée en mairie… les services techniques ne s’occupaient pas de notre dossier… et autres obstacles chez le notaire.

Des mois de galère, toujours heurtée à ce mur, mais motivée grâce au jeûne et à la prière jusqu’à ce que Yeshoua HaMashiah[1] nous révèle une partie des choses cachées que nous ignorions (Jr 33:3) : l’identité spirituelle de notre maison. Quelle horreur ! Comme on le dit chez nous : « Sa ou pa sav gran pasé’w[2] ! » Nous étions le centre d’un combat, protégés par Dieu, certes, mais désarmés. Durant toutes ces années, notre demeure a été autant un refuge pour animaux qu’un repaire de démons. Notre combat spirituel pour qu’un changement ait lieu entre nos parents a été l’occasion inattendue de recevoir de multiples révélations de la part de notre Seigneur et, par conséquent, le début du processus de notre délivrance.

La maison de Tartane devint notre sujet de prière phare, elle l’auteure de notre malheur, la source de la désunion de nos parents, l’objet de la méchanceté d’autrui ; sa ruine, le reflet de notre misère ; son apparence, le rire moqueur du diable ; l’ambiance intérieure, l’essence de la mort. Des personnes mal intentionnées usaient des arts magiques pour nuire à l’avancement des travaux. Bien sûr, nous étions ignorants de ces pratiques occultes visant à saper tous les aspects de notre vie. Ce calvaire a duré vingt ans. Ma mère était disqualifiée d’avance parce que les rênes ne lui appartenaient pas. L’ignorance est un vrai poison, vous pouvez me croire. "      

 

  

Quatrième de couverture.

Quatrième de couverture.

Livre broché,146 pages. 12 €. En vente sur Amazon. Format A5, version papier ou ebook.

http://www.amazon.fr/Parce-que-Lui-dit-oui/dp/2958575551

 

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10 octobre 2022 1 10 /10 /octobre /2022 18:00
Edition 2022 - 260 pages

Edition 2022 - 260 pages

Extrait p. 114

"

Je suis interné à l’asile sur les allégations d’un voisinage antichrétien.

Alors que j’étais conduit en ambulance à l’hôpital psychiatrique, le sergent me déclara qu’il ne manquerait pas une occasion de me tabasser à cause de ma forme de foi en Dieu. Dès mon arrivée, les gardiens m’obligèrent à me déshabiller et mirent mes affaires en consigne. J’ai dû revêtir un pyjama gris-blanc dans lequel j’ai rejoint, au bout d’un long couloir desservant une enfilade de pièces sombres, une cellule de la section 4. J’y fus enfermé en attendant une évaluation de mes capacités mentales.

Les médecins me donnaient quotidiennement de l’Aminazine, un tranquillisant antipsychotique déjà prescrit lors de mon premier internement. Après un séjour d’un mois, le médecin-chef du secteur psychiatrique vint me visiter, mais seulement cinq minutes. Tamara avait signalé qu’elle ne parvenait pas à comprendre le motif de mon amaigrissement. De plus, mon corps sentait mauvais et le pyjama gris était sale et puait aussi. Il faut savoir que j’avais l’autorisation de ne recevoir que deux sacs de fruits et de me rendre au réfectoire uniquement quand on m’en donnait la permission. Une seule fois, en l’espace de deux mois, j’ai reçu un pyjama et un peignoir de bain de rechange.

Le chef Vera et la doctoresse Ludmila restaient très attentifs à mon état psychique et bien disposés à utiliser des dispositifs de contention si nécessaire. Lors d’une visite, Tamara me confia qu’elle ressentait que les membres du personnel de l’hôpital étaient animés par un esprit de haine et de mensonge et représentaient des acteurs maniables à merci pour nous accabler sous de fausses accusations. Elle pressentait que ceux-ci cherchaient également à la faire interner. À ce moment-là, le chef en psychiatrie se présenta, interrompit notre conversation et me renvoya dans ma cellule. Un des aides-soignants vint m’ausculter et semblait satisfait que tout allât pour le mieux.

Quelques jours plus tard, le chef en psychiatrie me félicita pour la naissance de notre fille, mais tout en me signifiant que j’étais dans un état émotionnel terriblement tourmenté, si bien que cette seconde nouvelle contribua à détruire ma joie de la première !

Un matin, les docteurs organisèrent une visite d’inspection de routine des « prisonniers ». Ils avaient pour mission de venir s’informer auprès de chaque patient et observer les éventuels effets secondaires des traitements, ceci afin d’en dresser un rapport au responsable. L’un s’approcha de moi et me dit d’un ton méprisant : « Oh ! le martyr du Christ ! Un prédicateur zélé d’entre tous les croyants de son église ! »

..."

Rescapé du système punitif psychiatrique communiste à cause de sa foi en Jésus-Christ

Rescapé du système punitif psychiatrique communiste à cause de sa foi en Jésus-Christ

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10 août 2022 3 10 /08 /août /2022 13:18
Editions Baudelaire - 2022 - 24,50 €

Editions Baudelaire - 2022 - 24,50 €

Extrait p. 86.

"

Prostitution et drogue : un cercle vicieux

La prostitution me faisait rencontrer des hommes psychotiques dangereux. Un soir, j’ai échappé de peu à la mort avec un client possessif et jaloux qui croyait avoir des droits sur moi. Il avait pointé une arme à feu dans ma direction ; heureusement que d’autres hommes sont venus à ma rescousse. Il avait néanmoins réussi à envoyer du gaz lacrymogène dans ma chambre par le trou de la serrure voulant tous nous asphyxier. Une poursuite à voiture aux allures de course s’en était suivie dans les rues de Mulhouse et qui avait fini par être stoppée grâce à l’intervention de la police. Les journaux parlaient de moi le lendemain et tout le monde pouvait connaître ma situation et savoir que je me prostituais, mais je m’en fichais pas mal ! Je me disais qu’au moins on savait que j’étais encore en vie.

Je tournais de plus en plus mal et perdis ma chambre, me retrouvant dans la rue une fois de plus. Je logeais çà et là et me heurtais à des situations de plus en plus graves et dangereuses, jusqu’à ce que mes moyens financiers me permettent de reprendre un studio, sans que j’aie à justifier d’un travail et de fiches de paye. J’étais soulagée, car je n’avais plus la force de suivre ce monde de la rue devenu dur et violent. Bien que ce studio fût un clapier à cafards, il m’offrait le luxe de prendre à nouveau des douches et de dormir dans un vrai lit. Et le must était de pouvoir recevoir mes « clients » dans de bonnes conditions et me refaire un peu d’argent pour redémarrer une vie « normale ». C’est ce que je cherchais au plus profond de moi, changer de vie pour un avenir plus sain, mais je me leurrais, car plus j’avais d’argent, plus je prenais de la cocaïne, que je consommais uniquement en intraveineuse pour que l’effet soit à son apogée. Oublier, planer… planer, oublier… était devenu mon leitmotiv.

Je consommais jusqu’à quatre grammes par jour par injection dans la salle de bain qui finissait, comme moi, maculée de sang. Je me piquais pour obtenir un effet plus puissant et les seringues à moitié bouchées finissaient dans la baignoire et le lavabo. J’enchaînais un shoot après l’autre, juste le temps de sentir la montée et de préparer le suivant. C’était de la pure folie. Je devais m’y reprendre à plusieurs fois pour trouver une veine, voir le sang affluer dans la seringue, et enfin ressentir l’explosion du produit qui, l’espace de quelques secondes, envahissait tout mon corps, l’enrobant d’une chaleur intense, puis atteignait mon cerveau pour me donner une sensation de toute-puissance, qui retombait tout aussi rapidement. Souvent, je devais sortir chercher un autre gramme parce que je n’arrivais plus à m’arrêter ; il m’en fallait encore plus. C’est ça l’effet de la drogue.

Alors que j’étais dans un état d’excitation épileptique, je me lavais vite les mains, j’enfilais une veste et j’enfourchais nerveusement mon vélo pour aller retrouver mon dealer à l’autre bout de la ville ; je m’arrêtais au distributeur bancaire juste le temps de retirer de l’argent pour payer cette poussière blanche qui coûtait soixante-dix euros le gramme à cette époque. Je traversais à toute allure la ville en diagonale empruntant les trottoirs que je connaissais par cœur pour aller plus vite ; je savais aussi où m’attendait chaque flaque d’eau sur ce circuit de la mort. Il fallait que je sois prudente toutefois, pour ne pas me faire repérer et arrêter par la police, car avec les pupilles dilatées, les cheveux trempés, les bras ensanglantés et mes gestes survoltés, je risquais l’enfermement sur le champ. Je voyais bien le danger et les risques que je prenais en agissant de la sorte, surtout que la cocaïne rend complètement parano, mais la folie m’avait gagnée et je ne perdais plus grand-chose, puisque ce qui m’était le plus cher, je l’avais perdu. C’est comme si j’avais une double personnalité, l’une qui ne pouvait plus s’arrêter de s’enfoncer, et l’autre qui connaissait la vérité, le conseil de Dieu, qui était consciente, mais, hélas, impuissante. J’ai même une fois, une seule, invoqué le diable pour être sûre d’obtenir un gramme supplémentaire !..."

Pour contacter l'auteur : christine pflieger <kriss-14@live.fr>

Pour contacter l'auteur : christine pflieger <kriss-14@live.fr>

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17 juin 2022 5 17 /06 /juin /2022 13:58
Jeune retraité, Jean François est toujours en activité : il est commercial de l'Éternel !

Jeune retraité, Jean François est toujours en activité : il est commercial de l'Éternel !

Le témoignage de Jean François Waltrowski : Commercial de l'Eternel

Lien pour acheter son livre via les Editions Baudelaire : https://www.editions-baudelaire.com/auteur/jean-francois-waltrowski

Vous pouvez directement le commander en ligne chez : FNAC, AMAZON, DECITRE, CULTURA.

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14 juin 2022 2 14 /06 /juin /2022 21:39
Danse et bannières dans l'Église

Danse et bannières dans l'Église

Extraits de l'ouvrage. 266 pages. Edition 2022.

Le maniement des bannières est une forme d’expression artistique. On peut les brandir seul chez soi ou en groupe quand il s’agit d’intervenir dans les Églises pendant des temps d’adoration, de louange, de proclamation, de prière, de combat spirituel, de prophétie, de guérison, d’intercession ou d’évangélisation. La liste n’est pas exhaustive parce qu’elles peuvent être déployées selon l’inspiration de ceux qui en font usage.

L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Dans tous les siècles, les hommes se sont exprimés de manière artistique, par la musique, la peinture, le chant, la danse, le théâtre, etc. Les arts regroupent les talents que Dieu a donnés aux hommes pour être adoré et glorifié. Malheureusement, il existe une autre réalité, c’est que l’ennemi, le diable, a pris possession de l’espace artistique et les talents des artistes ne sont plus déployés dans le but de glorifier Dieu, mais dans celui de glorifier l’homme. L’art est détourné de sa finalité par l’homme pour attirer la gloire sur lui. On voit bien que les arts s’adressent aux hommes mais pas à Dieu. Notre rôle, en tant que chrétiens, est de se réapproprier ces domaines pour exprimer notre louange, notre adoration et notre reconnaissance. Si nous apprenons à bien gérer les dons qu’il a mis en nous, nous serons des gérants fidèles qui ne manqueront pas de recevoir leur récompense en temps voulu. " (p. 161)

Les expressions artistiques, comme la danse et les bannières, font davantage ressortir le côté émotionnel de l’homme, même si elles font aussi appel à sa volonté et son intelligence. Dans les Psaumes, nous voyons David exprimer sa joie quand il dansait devant Dieu. Les émotions ne sont bonnes ou mauvaises que selon ce qu’on décide d’en faire. Notre combat est de savoir les gérer plutôt que de s’en méfier ou de les refouler. Quand elles nous emportent, elles peuvent provoquer des réactions vives chez les autres, ce qui se comprend. Savoir les maîtriser est donc un art difficile, mais pas impossible grâce à l’expérience et la prière. Puisque c’est Dieu qui a créé nos émotions, il peut parfaitement s’en servir pour transmettre un message. L’empathie nous conduit à avoir de la compassion pour les autres, à participer à leur joie ou leur malheur. Nous pouvons aussi être submergés par la tristesse quand nous prions pour quelqu’un. En revanche, ne cherchons pas à provoquer l’émotion parce qu’on pourrait facilement la confondre avec la présence de Dieu.

Avec nos bannières ou nos danses, nous devons apprendre à ne reproduire que les mouvements qui ont amené une bénédiction et évincer ceux qui ont provoqué des débordements. Restons ouverts à l’Esprit, n’ayons pas peur d’avancer sur des sentiers nouveaux, et «que toutes choses se fassent avec bienséance et avec ordre», comme il nous est conseillé dans l’épitre aux Corinthiens (14 : 40)." (p. 103)

Et si on dansait dans l'Eglise ? Anouk Schwaar

Lien vers l'éditeur pour vos commandes :

https://editionsoasis.com/produit/et-si-on-dansait-dans-leglise/

 

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27 avril 2022 3 27 /04 /avril /2022 16:07
Livre d'édification chrétienne.

Livre d'édification chrétienne.

Extrait de l'ouvrage, Salut en Jésus-Christ et Pratiques hérétiques, p. 96. 

L'onction

Plusieurs fausses doctrines sont bâties autour du mot « onction ». Certains pasteurs jonglent avec ce mot en l’utilisant à tout-va, ce qui sème la confusion autour de sa réelle signification. « L’onction est une puissance, un principe actif de l’Esprit dont Dieu nous revêt pour accomplir son œuvre. L’onction est ainsi symbolisée par une application d’huile faite sur une personne pour la consacrer à Dieu, ou lui permettre de lutter contre la maladie en recevant la puissance de l’Esprit » (cf. Jc 5 :15). En d’autres termes, c’est une puissance symbolisée par un acte, celui de répandre de l’huile sur une personne ou sur un objet. De ce mot provient le terme « christ » qui signifie « celui qui est oint ».

Sous l’Ancienne Alliance, l’huile d’onction était appliquée sur quatre types de personnes : les sacrificateurs (Ex 30 :30), les rois (1 S 10 :1, 16 :13), les prophètes (1R 19 :15) et les lépreux (Lv 14 :29, 32). Sous la Nouvelle Alliance, l’onction était sur Jésus (Lc 4 :18 ; Ac 10 :38 ; Hé 1 :9) et sur les croyants par la suite (1Jn 2 :20, 27). Il convient de noter que l’onction est intimement liée à la personne et à la présence du Saint-Esprit.

Les spéculateurs, ceux qui se lassent des vérités fondamentales et cherchent à être reconnus grâce à leur originalité, nous laissent donc croire qu’il y aurait des formes d’onctions spéciales, prophétique, financière, d’élévation, de voyage, de mariage… Ce ne sont que des moyens qui nous détournent de la véritable onction du Saint-Esprit, et bien souvent ils sont entretenus à des fins commerciales lucratives. Si l’on marche selon l’Esprit, alors nos prophéties seront vraies, notre mariage sera une source de bénédiction, nos voyages seront préservés, nos projets auront du succès, etc., mais rejetons l’idée qu’une quelconque onction magique y serait à l’origine."

Un résumé des différents sujets fondamentaux de la foi chrétienne.

Un résumé des différents sujets fondamentaux de la foi chrétienne.

POUR VOS COMMANDES :

 . Chez l'éditeur, Éditions l'Oasis, France : https://editionsoasis.com/produit/salut-en-jesus-christ-pratiques-heretiques/

. Auprès de l'auteur, Kinshasa, RD Congo, Afrique : Whatsapp : (+243) 0900186816 ; Email : bietoaspa@gmail.com

 

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29 mars 2022 2 29 /03 /mars /2022 16:44
Livre de témoignage de Noémie Mbokoko.

Livre de témoignage de Noémie Mbokoko.

Extrait - p. 32. La Naissance d'un rêve. Noémie Mbokoko. 2022.

Si j’ai accepté d’être prise pour une folle dans mon parcours scolaire, c’est parce que j’avais la foi dans mon projet, j’étais persuadée que j’allais réussir contrairement à mes enseignants qui pensent que si l’on ne réussit pas du premier coup, il faut abandonner. J’ai aussi proclamé des paroles de foi positives alors que les autres utilisaient un vocabulaire défaitiste. J’ai accepté d’être différente parce que je savais où Dieu voulait me conduire.

Avoir la foi : c’est aujourd’hui, pas demain !

Avoir la foi : c’est croire maintenant !

Avoir la foi : c’est mettre les deux mains sur ses yeux et dire à Dieu : « Guide-moi, conduis-moi, je te fais confiance. Même si j’ai peur, même si je ne sais pas où est le bon chemin, je te fais confiance ; même si le long du parcours je trébuche, je sais que tu m’aideras à me relever. »

Dos couverture livre témoignage Noémie Mbokoko

Dos couverture livre témoignage Noémie Mbokoko

Adresse mail de l'auteur : noemie.mbokoko@gmail.com

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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 16:58

Extrait du témoignage :

LE DÉBUT DE L’ÉPREUVE : Avant de raconter mon histoire, j’aimerais que vous compreniez bien que depuis sept ans, je ressens dans mon cœur le vif désir de rendre ce témoignage public ; que je me dois aujourd'hui de vous le partager, et que j’ai porté ce fardeau autant les nuits que les jours car mon cœur n’était jamais en paix. Je me dois donc de l’amener à la connaissance du plus grand nombre. Quand bien même je le confiais à mes connaissances, une pensée me disait que ce n’était pas suffisant. C’est ainsi que j’ai décidé de choisir la voie de l’écriture et de l’édition afin que ce témoignage de guérison parvienne là où mes pieds ne peuvent l’amener. Et cela par compassion pour ceux qui sont en situation de désespérance. Tout a commencé un soir, dès mon retour à la maison, entre dix-neuf et vingt heures. J’avais treize ans et je venais de passer l’après-midi à jouer avec les camarades de mon âge. J’ai commencé à ressentir des douleurs au genou. Ma mère, constatant que j’avais vraiment mal, a fait tiédir de l’eau et m’a lavé le genou, puis m’a massé avec une pommade anti-inflammatoire. Après ces menus soins, j’ai pu m’endormir. Le lendemain matin, au réveil, le genou était très enflammé, et rapidement ma température s’éleva. Ma mère, un peu inquiète, me demanda : « Hier, pendant que tu jouais avec tes camarades, n’es-tu pas tombé sur A 8 ton genou ? – Non, maman, lui répondis-je. » Certes, je n’étais pas excellent aux jeux acrobatiques que je partageais avec les copains du quartier, mais je me rappelle bien que je n’étais pas tombé sur mon genou. Voyant que je continuais de souffrir, elle décida alors de m’amener à l’hôpital. Maman se disait que nous connaîtrions l’origine de ce soudain mal grâce à la consultation chez le médecin et au vu des analyses médicales, et qu’après un traitement adéquat, tout rentrerait dans l’ordre. Une fois arrivé à l’hôpital, je suis reçu en consultation et le docteur me pose immédiatement la même question que celle de ma mère à la maison : « N’es-tu pas tombé sur le genou lorsque tu jouais avec tes camarades ? » Je réponds : « Non, docteur ». Ensuite, après avoir palpé mon genou, il me prescrit une ordonnance et dresse une liste d’examens médicaux. Avant de rentrer à la maison, nous sommes donc allés à la pharmacie et y avons acheté les anti-inflammatoires pour apaiser l’inflammation du genou, et les comprimés pour diminuer les douleurs. J’ai suivi le traitement et j’ai fait les examens prescrits. Puis ma mère a pris un nouveau rendez-vous avec le docteur...."

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28 avril 2021 3 28 /04 /avril /2021 14:52
"Goûtez et voyez combien l'Eternel est bon ! Heureux l'homme qui se retire vers lui !" - Ps 34:9

"Goûtez et voyez combien l'Eternel est bon ! Heureux l'homme qui se retire vers lui !" - Ps 34:9

Découvrez dans ce livre une foule d'événements qui témoignent de l'amour et de la puissance de Dieu, et qui font de la vie de Claudie une aventure palpitante où miracles et exaucements démontrent merveilleusement que Jésus est bien à l'écoute de nos prières ! 

Extrait de l'ouvrage, p. 59-60 : 

"Accident d'André dans sa jeunesse.

Il avait eu un grave accident juste avant que je le connaisse. C’était par un dimanche de premier mai, très chaud, que j’ai entendu la sirène des pompiers retentir. Mon père avait donné l’alerte depuis son poste de gardien (emploi qu’il occupait dans une usine), alors qu’il commençait sa ronde. L’accident venait de se produire, tandis qu’une ambulance passait par là, comme par hasard… Verdict : traumatisme crânien, quatre mois d’hôpital, amputation d’un pied. Il était inscrit au tableau des amputations, mais il l’ignorait ; ainsi, le matin, ne voyant pas son petit déjeuner arriver, il appela la femme de salle pour le lui réclamer. — Mais, monsieur, vous êtes prévu pour une opération dans la matinée. En la questionnant, il apprit que le chirurgien voulait l’amputer, car son pied s’était gangrené et qu’il n’y avait pas d’alternative. André refusa. L’hôpital a donc fait venir une infirmière spécialement de Paris qui lui changeait chaque jour ses pansements.

Les soins ont été longs, mais il a fini par guérir. Ce qui est fantastique, c’est que dans un pied, il y a trois artères ; dans le sien, il n’en reste qu’une, et à elle seule, elle fait le travail des trois. Pour l’infirmière, cela tenait du miracle ; et d’ailleurs, elle ne s’est pas cachée pour lui dire : « Si vous ne croyez pas au Bon Dieu, eh bien, vous pouvez y croire maintenant ! »

"Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous..." - Jc 4:8

"Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous..." - Jc 4:8

Un cadeau pour soi ou pour offrir.

Lien vers l'auteure : Pour commander, cliquer ici.

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